Pour Alain Finkielkraut, tout est prétexte au racisme. Même la mort du rockeur le plus populaire de l’histoire de France. Celui qui s’était ému de l’équipe de France de football soit « black, black, black » en 2005 et qui défend sans mesure son ami Renaud Camus, auteur de la thèse sur le Grand Remplacement, a une nouvelle fois effectué une sortie étonnante.
Parlant de l’enterrement de Johnny Hallyday, Alain Finkielkraut a déclaré sur la radio juive RCJ : « Le petit peuple des petits blancs est descendu dans la rue pour dire adieu à Johnny. Il était nombreux et il était seul. Les non-souchiens brillaient par leur absence. » Elisabeth Levy, fondatrice du magazine Causeur, ne reprend pas le philosophe.
Quelques jours après avoir estimé que le hashtag #BalanceTonPorc avait eu pour objectif de « noyer le poisson de l’Islam », le philosophe montre une nouvelle fois son obsession pour les questions d’Islam et d’immigration. Elisabeth Levy, qui a récemment publié un texte réclamant l’établissement en France d’un droit différencié entre musulmans et non-musulmans, continue donc à semer la discorde en invitant le pensionnaire de l’Académie française.