vendredi 22 novembre 2024
2 C
Paris

Avec Trump, la fin de la colonisation israélienne, ce n’est pas pour demain!

Ce mercredi, le nouveau président américain doit rencontrer le Premier ministre israélien. Depuis l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, Israël semble être dans une spirale colonisatrice impossible à arrêter : le pays a annoncé la construction de nombreuses constructions de colonisation et le Parlement israélien vient d’adopter une loi qui permet l’annexion de terrains privés palestiniens par des colons. Cette dernière loi avait déplu aux Etats-Unis, qui affirmaient dans un communiqué officiel que « la construction de nouvelles implantations ou l’expansion d’implantations existantes au-delà de leurs limites actuelles pourrait ne pas aider » à la résolution du conflit israélo-palestinien. On pensait alors que Donald Trump pouvait surprendre en n’étant pas aussi laxiste avec Israël qu’on l’imaginait.

Si on ne saura qu’en fin de journée ce que le président américain aura dit à Netanyahu, force est de constater que Donald Trump ne sera en tout cas pas un ennemi d’Israël. Avant la rencontre entre les deux hommes, la Maison-Blanche a fait savoir — de façon officieuse — qu’elle ne prônerait pas la solution à deux Etats défendue depuis plusieurs années par les Etats-Unis. « Une solution à deux Etats qui n’apporte pas la paix est un objectif que personne ne cherche à atteindre », a déclaré une source proche de Donald Trump. Selon cette même source, si « la paix est l’objectif », les Etats-Unis ne veulent pas prendre position sur la solution à adopter. « Nous ne dicterons pas les termes de ce que sera la paix », admet le responsable américain, qui semble ici dire que, durant les quatre années à venir, les Etats-Unis ne feront pas pression sur Israël. Autant dire que la colonisation ne semble pas près de s’arrêter.

Actualités en direct

Pourquoi de nombreux musulmans hautement qualifiés choisissent-ils de quitter la France ?

L'étude "La France, tu l’aimes mais tu la quittes"...

Chems-Eddine Hafiz et la mosquée de Paris en plein « doute »

La Grande mosquée de Paris attend la Nuit du doute pour annoncer la date de l'Aïd. L'objectif n'est pas d'observer la Lune mais de s'aligner sur certains pays. Un procédé qui sème la zizanie.

Gaza : la censure de la vérité

La philosophe américaine Judith Butler ne participera pas aux conférences auxquelles elle était invitée, au centre Pompidou, après avoir rappelé que le Hamas était un mouvement de résistance.

Averroès et la solidarité des musulmans de France

En difficulté financière après la rupture de son contrat avec l'Etat, le lycée Averroès a obtenu plusieurs centaines de milliers d'euros de dons.

L’Allemagne récidive, après la Shoah

Le Nicaragua accuse l'Allemagne, devant la Cour internationale de justice, de faciliter le génocide perpétré par Israël à Gaza.

Les brèves

Chems-Eddine Hafiz et la mosquée de Paris en plein « doute »

La Grande mosquée de Paris attend la Nuit du doute pour annoncer la date de l'Aïd. L'objectif n'est pas d'observer la Lune mais de s'aligner sur certains pays. Un procédé qui sème la zizanie.

Gaza : la censure de la vérité

La philosophe américaine Judith Butler ne participera pas aux conférences auxquelles elle était invitée, au centre Pompidou, après avoir rappelé que le Hamas était un mouvement de résistance.

Averroès et la solidarité des musulmans de France

En difficulté financière après la rupture de son contrat avec l'Etat, le lycée Averroès a obtenu plusieurs centaines de milliers d'euros de dons.

L’Allemagne récidive, après la Shoah

Le Nicaragua accuse l'Allemagne, devant la Cour internationale de justice, de faciliter le génocide perpétré par Israël à Gaza.

Israël : la fin de l’impunité ?

Des juges britanniques demandent au Premier ministre Sunak de stopper la vente d'armes à Israël et lui suggèrent de sanctionner les responsables israéliens.

Espagne : vers la reconnaissance de l’Etat palestinien

Le gouvernement espagnol veut reconnaître l'Etat palestinien avant l'été. L'annonce est prévue pour le 9 juin.

Sur fond de génocide en Palestine, l’iftar de la Maison-Blanche annulé

Les invités de l'iftar de la Maison-Blanche ont refusé de rompre le jeûne avec le président Biden qui doit, selon eux, revoir sa position sur Israël.
Quitter la version mobile